Généralement, les actions SEO entreprises sur un site web ont vocation à améliorer son positionnement sur Google. Mais puisqu’il est nécessaire de donner un cadre pour éviter les abus et débordements, le géant américain n’hésite pas à pénaliser les sites qui tentent de faire perdre la tête à son algorithme de classement. Ainsi, utiliser des méthodes contraires aux grandes règles et bonnes pratiques énoncées par Google revient à s’exposer à des sanctions : disparition de la SERP, chute de trafic, déclassement…
Dans cet article, nous vous proposons de revenir sur les différentes pénalités SEO qui peuvent impacter votre site sur Google, les méthodes pour les identifier et quelques conseils pour les éviter. Allons-y !
Qu’est ce qu’est une pénalité Google en référencement ?
Lorsque Google détecte que les agissements d’un site en termes de SEO sont contraires à son code de bonne conduite, il prend les dispositions nécessaires pour sanctionner ce site par le biais d’une pénalité. La naissance des pénalités Google découle généralement d’une mise à jour majeure de l’algorithme qui rebat les cartes et bouleverse l’ensemble de la SERP.
Ces sanctions ont souvent pour répercussions un recul du site sur la SERP, notamment sur les mots et expressions clés stratégiques sur lesquels repose son plan d’action, ou même une disparition des radars, voire un blacklistage pour les cas les plus aggravés. Les conséquences ? Chute brutale de trafic, et donc perte de visibilité et par extension de revenus…
Une fois la pénalité assénée, les webmasters et responsables SEO doivent corriger le plus rapidement possible les erreurs détectées puis s’armer de patience avant de voir le site reprendre sa position initiale.
La plupart du temps, les pénalités Google sont notifiées sur la Search Console. Voici deux exemples de notifications de pénalités :
Site impacté par une pénalité engendrée par des actions considérées ” spammys “.
Site pénalisé suite à du netlinking abusif et des liens factices
Quelles sont les différentes formes de sanction ?
Les pénalités Google peuvent être soit manuelles, soit engendrées directement par l’algorithme et donc automatiques.
La pénalité manuelle
Comme son nom l’indique, la pénalité manuelle, que Google appelle plus précisément “ action manuelle “ est souvent le fruit d’une décision humaine. Un membre de la “ Quality Team “ de Google décide d’appliquer une sanction à un site qui a enfreint les règles. Ce sont également ces Quality Raters qui évaluent les sites appartenant à la catégorie YMYL dont nous vous parlions dans notre précédent article sur la Medic Update.
Étant donné que le moteur de recherche planche en permanence sur le développement de son IA, il est possible que certaines pénalités considérées comme manuelles soient en réalité automatiques.
Ce type de pénalité concerne généralement la présence de backlinks artificiels ou une stratégie de netlinking douteuse : des pratiques sur lesquelles Google est intraitable. Pour espérer retrouver son positionnement sur la SERP, il est nécessaire de faire une demande de réexamen après avoir réalisé les correctifs nécessaires.
Au cours de l’année 2017, environ 6 millions de sites ont reçu une notification de pénalité via la Search Console Google. Ce chiffre, aussi important soit-il, est cependant plus bas que celui de 2016, année où le nombre de sites victimes de pénalités avoisinait les 10 millions.
La pénalité algorithmique
Second type de sanction, la pénalité algorithmique survient la plupart du temps suite à la mise à jour de l’algorithme ou à l’évolution d’un des filtres Google.
Contrairement aux pénalités manuelles qui sont clairement notifiées sur l’interface Search Console, les pénalités algorithmiques sont plus difficilement détectables car elles ne sont pas clairement déclarées.
Le plus souvent, les webmasters et SEOs envisagent la présence d’une pénalité algorithmique suite au constat d’une très forte chute de trafic organique. En recoupant la date de cette baisse de trafic avec celle de la mise à jour d’un algorithme et des communications faites sur les réseaux sociaux à ce sujet, il est possible de deviner le lien entre ces deux événements…
Quelles sont les principales pénalités Google ?
S’il existe à l’heure actuelle plus d’une dizaine de pénalités Google, nous allons ici nous concentrer sur celles qui ont un impact direct sur le SEO. Focus sur Panda, Pingouin et Fred qui font rage dans le monde du référencement naturel !
La sanction Panda
Derrière ce nom d’apparence innocente, se cache pourtant une sanction très sévère qui fait trembler les SERPs depuis 2011. La mission de ce filtre Google consiste à mettre le doigt sur les sites de mauvaise qualité et à lutter contre le spam en les pénalisant en conséquence. À l’inverse, les sites qualitatifs bénéficient d’un regain de positions.
L’algorithme Panda peut jeter son dévolu sur l’ensemble du site, ou sur certaines pages précises. Et puisqu’un malheur n’arrive jamais seul, les sanctions peuvent résulter de plusieurs éléments, ce qui complexifie la mise en oeuvre des correctifs.
Si votre site a attiré les foudres du très redouté algorithme Panda, voici les principaux axes de votre audit SEO pour identifier le(s) problème(s) :
- les performances de votre site, notamment son temps de chargement,
- la présence de keyword stuffing sur l’ensemble du site (images, textes, métadonnées…),
- une architecture de site trop profonde qui empêche la bonne indexation des pages,
- le cloacking sous toutes ses formes : textes écrits blanc sur blanc, liens cachés, adresses IP,
- un taux de duplicate content trop élevé,
- une trop grande quantité de liens,
- des pages et sites satellites d’une qualité médiocre.
Cet algorithme est sans aucun doute le plus connu, et pour cause : il est impitoyable sur une grande quantité de points. Google a horreur des tentatives de tromperies et d’impostures, plaçant la qualité de l’expérience utilisateur au coeur de ses préoccupations.
La pénalité Pingouin
Mise en place depuis le mois d’avril 2012, l’algorithme Pingouin se charge d’analyser le profil de liens d’un site web et d’en évaluer sa qualité, sa pertinence mais surtout son authenticité. Si la chasse aux contenus de mauvaise qualité est ouverte depuis longtemps, celle aux backlinks artificiels n’est pas prête de cesser non plus !
Pour identifier un site qui met abusivement le netlinking au profit de son ranking, l’algorithme Pingouin passe au peigne fin divers éléments :
- le profil de liens du site : est-il hétérogène ? Les liens sont-ils légitimes ?
- les ancres des liens : le ratio d’ancres optimisées / non optimisées et dofollow / nofollow est-il respecté ?
- les backlinks du site sont-ils de bonne qualité ? Ont-il été acquis sur la durée de façon cohérente ? Proviennent-ils de plusieurs catégories de sites ou au contraire d’échanges de liens ou d’achat de liens sponsorisés ? Les sites qui pointent vers le site cible ont-ils un lien thématique ?
Comme vous pouvez le constater, le spectre couvert par l’algorithme Pingouin reste très large bien qu’essentiellement cantonné au netlinking. De l’analyse de l’ancre du backlink lui-même jusqu’au passage en revue des domaines référents, Pingouin ne chôme pas et ne laisse passer aucune information.
Les bons backlinks pèsent extrêmement lourds dans la balance et jouent un rôle capital dans le classement d’un site sur la SERP, on comprend aisément pourquoi Google dédie spécifiquement un algorithme à la traque aux liens artificiels !
Courbe de trafic d’un site impacté par Pingouin au milieu de l’année 2014. Le trafic a été rétabli à partir du 1er trimestre 2013=6 :
La pénalité Fred
La dernière mise à jour en date qui a affecté la sphère SEO fait exception à la règle et ne porte pas le nom d’un animal cette fois-ci, mais bien celui d’un humain : Fred. Cette pénalité Google a cependant un point commun avec celle qui lui a précédé du nom de Panda : elle concerne le contenu.
Encore et toujours, la qualité du contenu prime sur le reste et permet à un site de tirer son épingle du jeu face aux concurrents, ou de subir une dégringolade vertigineuse dans le cas contraire. Mais Fred a tendance à observer la qualité du contenu dans son ensemble, toujours dans une optique globale de valoriser les sites qui proposent la meilleure UX.
Les premières victimes de Fred ont donc été sans surprise les sites truffés de publicités en tous genres. Tous ceux qui ont fait le choix de miser sur l’affiliation, notamment en multipliant les liens dès la page d’accueil, sont les premiers touchés. Il semblerait que Fred calcule le pourcentage de contenus VS publicités et sanctionne ceux présentant un ratio trop élevé.
Mais les publicités ne sont pas le seul élément à affoler l’algorithme Fred. Parmi eux, on retrouve aussi :
- un contenu essentiellement textuel, dépourvu de graphiques, d’images, de vidéos, d’infographies et qui pourrait être par conséquent peu lisible,
- un siloing mal construit qui casse la pertinence thématique du site,
- un abus et / ou une mauvaise gestion de la technique du netlinking qui repose sur les PBN,
- les sites conçus uniquement dans le but de générer des revenus et considérés comme spammys par les robots.
Si Google a déployé ce nouvel algorithme, c’est sans aucun doute à cause du ras-le-bol des utilisateurs face aux publicités, qu’ils sont parfois même contraints de consommer avant d’accéder au contenu désiré !
La plupart des sites épargnés par Fred se concentrent généralement sur des niches et traitent de thématiques très ciblées et spécifiques.
Comment savoir si mon site a été pénalisé par Google ?
Pour savoir si vous faites face à une pénalité Google, qu’elle soit manuelle ou algorithmique, plusieurs solutions s’offrent à vous.
Suivez l’évolution de vos positions sur la SERP
Comme dit précédemment, une perte soudaine de positions sur un ou plusieurs de vos mots-clés principaux doit immédiatement vous mettre la puce à l’oreille. De même, si votre site a perdu toutes ses positions, c’est peut-être qu’une pénalité se cache derrière cette dégringolade.
Le déclassement d’un site est la conséquence la plus fréquente d’une pénalité Google. Si vous avez un peu flirté avec l’algorithme dernièrement, il est peut-être utile de vous inquiéter…
Pour suivre vos positions, vous pouvez vous tourner vers Ahrefs, qui est actuellement l’outil le plus complet.
Source : Ahrefs
Cependant, n’oubliez pas que la SERP est en mouvement au quotidien. En effet, si vous cherchez à positionner votre site sur certains mots-clés, d’autres entreprises tentent de relever les mêmes défis que vous : c’est de bonne guerre. C’est pourquoi une perte de positions temporaire ou une variation peuvent être tout à fait normales. Mais il vaut mieux s’en assurer !
Source : Ahrefs
Comment garder un œil sur son trafic ?
Au-delà du suivi des positions, l’évolution du trafic organique reste l’indicateur le plus fiable pour déceler la présence d’une pénalité.
Via Google Analytics, il faut mesurer vos différentes audiences et les comparer avec une période de référence. Attention par exemple à ne pas confondre une baisse importante de trafic liée à un événement particulier ou simplement à la saisonnalité des ventes avec une pénalité.
De même, avant de tirer la sonnette d’alarme, il est important de vérifier que cette variation de trafic est propre à Google, et ne s’étend pas à l’ensemble des moteurs de recherche. N’écartez pas la possibilité d’une erreur qui a des conséquences sur votre référencement dans sa globalité.
Surveillez les performances du site via la Search Console
Précieuse alliée de tous les responsables SEO, la Search Console vous permettra dans la plupart des cas d’identifier si votre site a fait l’objet d’une pénalité manuelle. En effet, ces dernières sont très clairement énoncées dans la Search Console. Et Google donne même la raison de la pénalité : lien factice, site piraté, texte caché, comportement considéré comme spam…
Cet outil vous permet aussi de mettre le doigt sur des erreurs de crawl par exemple. D’ailleurs, si les Googlebots délaissent complètement votre site, ce comportement peut laisser présager que vous avez subi une pénalité !
Pensez toujours à jeter un coup d’oeil au sitemap pour déceler d’éventuels problèmes d’indexation.
De son côté, la pénalité algorithmique est plus difficile à identifier via la Search Console.
Comment éviter une pénalité Google ?
Si sortir d’une pénalité nécessite un véritable travail de fourmi et parfois des jours entiers d’investigation, la meilleure solution consiste à tout mettre en oeuvre pour l’éviter ! Parce qu’il est toujours plus judicieux de prévenir que guérir, voici nos conseils.
Surveiller la température de la SERP
L’affichage des résultats de recherche ou l’importance des critères de positionnement sont modifiées régulièrement. Pour mieux appréhender les changements d’algorithmes, une surveillance accrue des fluctuations sur la SERP apporte d’excellents indicateurs.
La température de la SERP est en quelques sortes la météo du référencement naturel et donne des indications précieuses sur les mises à jour d’algorithmes. Si dans le monde du SEO, tout le monde s’accorde à dire que ce qui était vrai hier ne le sera plus forcément demain, c’est bel et bien à cause de ces fameuses mises à jour.
Basé sur des analyses de mots-clés et sur les résultats de la SERP, l’outil Moz fournit une météo de la SERP assez fiable et est parfois même apte à anticiper certains changements d’algorithmes.
Source : Mozcast
Vous pouvez aussi utiliser Serpomètre, qui donne un indice de turbulences des SERPs et vous permet de savoir si votre site a été impacté par une modification du fameux algorithme qui fait – au sens propre du terme – la pluie et le beau temps !
Source : Ranks
Sonder les anomalies statistiques
Par le biais de différents outils tels que Google Analytics, Ahrefs, SEMrush et cie, vous devez surveiller au quotidien différents indicateurs qui laisseraient présager des changements notables et anormales. La mise en place d’alertes est un bon moyen d’augmenter votre réactivité en étant de suite averti si quelque chose cloche.
Certaines anomalies statistiques doivent immédiatement vous mettre la puce à l’oreille :
- perte soudaine de vos backlinks de longue date,
- explosion du nombre d’ancres sur-optimisées,
- apparition inopinée de backlinks chinois ou russes,
- bouleversement du profil de liens…
Source : SEMrush
Lors de leur passage, les Googlebots détectent qu’il y a des turbulences sur votre site et vont redoubler de vigilance. Ces anomalies statistiques sont typiquement le genre de déclencheurs qui peuvent mettre en marche un filtre algorithmique. Pour éviter de subir une pénalité, vous devez intervenir et rectifier le problème le plus vite possible.
Miser sur la qualité du contenu avec les Rich snippets
Par le biais des Rich Snippets, vous pouvez aisément étoffer votre contenu et améliorer sa qualité. Informations sur les produits, prix, stocks ou encore avis utilisateurs sont autant de données utiles à l’internaute qui s’informe sur votre entreprise. En plus d’une visibilité renforcée sur la SERP, votre contenu multiplie ses chances de répondre aux attentes des utilisateurs. Tous les efforts qui tendent vers la satisfaction de l’utilisateur sont largement valorisés par Google.
Si ces données structurées ou Rich Snippets sont un bon moyen de se démarquer, leur utilisation abusive ou détournée est largement sanctionnée ! Forcément, les sanctions sont tombées car de trop nombreux webmasters se sont engouffrés dans la brèche en cherchant à tirer un maximum de profit de cette opportunité de visibilité.
Depuis plusieurs années, Google porte une attention particulière à l’utilisation de ces rich snippets et n’hésite pas à sanctionner ceux qui ne suivent pas les bonnes pratiques !
Si votre site se retrouve pénalisé à cause des rich snippets, la bonne nouvelle est que les corrections à effectuer pour vous réorienter vers le droit chemin sont faciles et rapides. De plus, ce problème lié à une pénalité est sans doute l’un des plus faciles à identifier.
Pourquoi éviter les comportements à risques ?
Toutes les actions appartenant à la sphère Black Hat SEO, qui est par définition une pratique SEO contraire aux guidelines Google, augmentent sensiblement les risques de se voir asséner une fameuse pénalité.
Que vous utilisiez des techniques Black Hat ou que vous soyez victime d’actions de Negative SEO de la part d’un tiers, le résultat sera indéniablement le même : la sanction !
Si une pénalité a déjà un impact terriblement négatif sur votre activité, il est essentiel d’éviter à tout prix d’être blacklisté par Google. La blacklist de Google recense tous les sites ayant été désindexés suite à l’utilisation de mauvaises pratiques : fermes à liens, netlinking abusif, cloacking, sur-optimisation de mots-clés, création artificielle de contenus via des techniques de spinning non maîtrisées…
N’oubliez pas que si vous jouez avec le feu, Google finira tôt ou tard par vous brûler…
Que faire en cas de pénalité Google ?
Vous avez pris toutes vos précautions, et pourtant : elle est tombée, la fameuse pénalité ! Le bon côté des choses, c’est que les actions à mener pour en sortir seront bénéfiques pour votre site en général, et sur le long-terme. La mauvaise, c’est que vous avez du pain sur la planche !
Le premier réflexe consiste à sonder la Search Console : est-ce une pénalité manuelle ou automatique ? Dans le premier cas, vous saurez de façon relativement précise sur quels éléments intervenir pour corriger le problème. Dans le second, la situation est plus opaque et un croisement de données s’impose.
Pour sortir d’une pénalité Pingouin, il est indispensable d’analyser précisément chaque lien détenue par le site sanctionné, de répertorier et supprimer les probables fautifs puis de désavouer tous les autres. Un sérieux nettoyage des backlinks et le déploiement d’une stratégie de netlinking ultra-qualitative sont donc les solutions les plus fiables pour redorer son blason auprès de l’intransigeant Pingouin.
Pour rectifier le tir suite à une pénalité Panda, le travail à mener est un peu plus complexe, notamment si l’ensemble du site est touché. Une analyse page à page permet d’identifier les faiblesses en terme de contenus et d’architecture afin de mieux cerner l’angle d’attaque à privilégier. La solution la plus courante consiste à enrichir le site avec des contenus de qualité qui ciblent les réelles attentes des utilisateurs.
Lors d’une pénalité, quelle qu’elle soit, l’étape la plus difficile consiste à identifier exactement sur quel(s) élément(s) agir. Encore faut-il avoir les ressources et l’expertise nécessaires pour affronter – et résoudre – ce problème. Vous vous retrouvez confronté à une pénalité et vous ne savez pas comment en sortir ? Nos experts SEO sont là pour vous répondre !
Et en 2019 ?
Google tente par tous les moyens de faire régner sa loi en déployant filtres et algorithmes qui pénalisent les sites qui enfreignent les règles. D’un autre côté, la firme de Mountain View ne cache pas valoriser ceux qui suivent scrupuleusement les guidelines. Au gré de l’évolution des tendances et des nouvelles problématiques liées à la recherche, le moteur de recherche Google se transforme. Son objectif reste quant à lui inchangé : satisfaire au maximum la requête de l’utilisateur par des résultats toujours plus pertinents.
Comme toujours, une veille pointilleuse sur les tendances du SEO et un suivi régulier des indicateurs de votre site sont de bonnes habitudes à prendre pour maximiser vos chances d’être prévenu rapidement si une pénalité Google venait à tomber. Le principal enjeu consiste à réagir vite et bien : plus le temps passe, plus la pente sera difficile à remonter.
Bien évidemment, si vous respectez les bonnes pratiques conseillées par Google, à savoir des liens naturels, un site alliant ergonomie et performance et un contenu d’excellent qualité : vous n’avez (presque) aucun souci à vous faire !